Marchons
A l’heure où nous écrivons ces lignes les fiertés bastiaises ont marché , ou plutôt couru :il fallait se mettre au pas parisien , en vraies Corses .Et , pour compenser le retard historique ,ils (elles ) avaient choisi un jour mythique , qui rappelait un autre appei : le 18 juin ! Gènial ! Deux appel fondus en un , deux appels inclusifs . comme les actes de la mairie woke de Bastia. A vrai dire elles ( ils ) auraient pu remonter plus haut ; chacun sait que Pascal Paoli en était et nul n’ignore que Sambucucciu d ´Alandu fut le premier à défiler dans ses maquis pour promouvoir la philosophie LBTG .Mais n’en demandons pas trop . La fête fut splendide à Bastia et cette première un grand succès . Et une marche aux fiertés est toujours mieux qu’une retraite aux flambeaux
Toutefois on ne pris pas garde à un détail : le défilé était inclusif et pourtant homo . Il y avait ll y avait là un contradiction qui avait donné queiques crépages de chignon en Amérique .Les homos d’un club féminin avaient laissé entrer ma mégarde un trans qui se disait homo. Mais les femmes vivaient dans une peur constante depuis qu’elles ont remarqué que l’intrus .assis à l’écart , jetait vers elles des regards concupiscents ´ et que ,sous son legging , pointait une protubérance dont l’origine n’était pas douteuse . D’où un procès dont l’issue est encore incertaine, car les juges sont eux-mêmes divisés entre homos et trans . Nos bastiaises ont de la chance : on connaît l’anecdote : Un riche bourgeois parisien avait â son service une femme de ménage corse ,un jour , en son absence , un de ses amis frappe â la porte . La femme de ménage répond que monsieur est sorti . A son retour il demande qui est venu le voir Est-ce un homme ou une femme ? Et l’autre de répondre : C’était un corse . Ce qui prouve que tous les Corses sont homos . Il ne peut donc chez nous exister de conflit entre homos et trans . Une chance pour les bastiaises. Mais elles ont un malheur : si leurs mères avaient eu les mêmes idées qu’elles .elles ne seraient jamais nées . . Quel dommage !